• Skip to main content
  • Skip to primary sidebar
  • Skip to footer
  • Accueil
    • Communiqués et Analyses
    • Conférence de Presse
    • CVU dans les Médias
      • Multimédia
  • Dans les Médias
    • 50 ans d’indépendance
    • Audio et Vidéo
    • FRANÇAFRIQUE
    • Revues de Presse
    • Tribune libre
  • Evènements
    • Manifestations
    • Conférence
    • Annonce
    • RESEAU DE LA COORDINATION DE LA DIASPORA TOGOLAISE INDEPENDANTE (RCDTI)
  • CVU Association
  • Nous Contacter
  • Archives
    • Rapports

Collectif pour la Vérité des Urnes

Mouvement citoyen

You are here: Home / Dans les Médias / Audio et Vidéo / Françafrique : 50 ans sous le sceau du secret – 1ère partie : « Raison d’état » et 2ème partie : « L’argent roi »

Françafrique : 50 ans sous le sceau du secret – 1ère partie : « Raison d’état » et 2ème partie : « L’argent roi »

2 janvier 2011 par Webmaster

Il y a 50 ans, en 1960, les 14 colonies françaises d’Afrique noire devenaient indépendantes. Mais, indépendance ne signifie pas liberté : le général de Gaulle confie à Jacques Foccart la mise en place d’un système qui vise à garder, par tous les moyens, légaux et illégaux, le contrôle de nos anciennes colonies dont les matières premières sont vitales pour la France. Ce système va s’appeler la Françafrique. Pendant plus d’un an, Patrick Benquet a enquêté avec l’aide précieuse d’Antoine Glaser, spécialiste unanimement reconnu dans ce domaine. Il montre dans ce film qu’à travers les présidences successives qu’avait connues la France, de droite et de gauche, les bouleversement mondiaux entraînés par la chute du mur du Berlin et la mondialisation, il existe une étonnante cohérence dans la politique française à l’égard de ses anciennes colonies.

Infrarouge : françafrique – Documentaire. Réalisé par Patrick Benquet

Télécharger le documentaire

Que tous les grands événements africains dont les Français gardaient le souvenir, le Biafra, les diamants de Giscard, l’action du mercenaire Bob Denard, les coups d’États à répétition, les assassinats politiques, l’affaire Elf et ses valises de billets, le licenciement de Jean-Marie Bockel…, étaient reliés par une logique implacable : la mise en oeuvre d’une politique occulte dont la motivation principale était l’approvisionnement énergétique de la France, en particulier en pétrole. Françafrique révèle un monde secret où, en dehors de tout contrôle parlementaire ou gouvernemental, tous les coups sont permis pour maintenir au pouvoir des chefs d’État africains dévoués à la France. Un monde ou des sommes d’argent colossales irriguent clandestinement des réseaux d’enrichissement personnel et de financements de partis politiques.

Le film donne la parole aux hommes de l’ombre, chefs des services secrets français, hommes de main au service de la République, baroudeurs du continent noir et à des acteurs historiques français qui ne s’étaient jamais exprimés : “Messieurs Afrique” de l’Élysée, ambassadeurs, ministre de la coopération, etc. Avec, par ordre d’apparition : Maurice Delaunay Formé à la Coloniale, l’École Nationale de la France d’Outre-mer, Maurice Delaunay fut le prototype de ces serviteurs de l’État qui ont géré l’empire africain sans état d’âme, justifiant les opérations illégales au nom de la ” raison d’État “. Se définissant lui-même comme un homme de Foccart, il fut en charge de la grande répression des indépendantistes au Cameroun à la fin des années 50. Ambassadeur au Gabon à deux reprises, il organisa la montée au pouvoir d’Omar Bongo. Il géra depuis Libreville l’intervention française au Biafra.

Il dirigea et protégea le mercenaire Bob Denard en particulier pour les opérations de déstabilisation au Bénin. Il fut le témoin des mouvements de fonds clandestins entre l’Afrique et les responsables français. Maurice Robert En tant que responsable du secteur Afrique, il fut l’homme de main de Jacques Foccart au sein du SDECE, les services secrets français. De l’intervention de la France au Biafra à la déstabilisation de la Guinée ou du Bénin en passant par la mise au pouvoir de Bongo, il fut l’exécuteur en chef de la politique secrète de la France en Afrique. Débarqué des services secrets français, il fut immédiatement embauché dans les services de renseignements chez Elf et finira par être nommé ambassadeur au Gabon à la demande exprès d’Omar Bongo avant de terminer sa carrière de nouveau chez Elf.

André Lewin Ambassadeur de France en Guinée de 1975 à 1979, il est la mémoire de la violente rupture entre le Général de Gaulle et Ahmed Sékou Touré et des tentatives de déstabilisation de ce pays par les services secrets français. Bob Maloubier Ancien responsable du service Action des services secrets français c’est lui qui organisa, à la demande de Jacques Foccart, la garde présidentielle du président gabonais Léon M’Ba, victime d’une tentative de coup d’État. Il fut ensuite embauché par la compagnie Elf au Nigéria. Jacques Pigot Jacques Pigot a fait partie de ces hauts fonctionnaires que la France nomma pour encadrer les nouveaux présidents africains. Il passa 50 ans dans l’entourage direct du premier président gabonais Léon M’ba puis d’Omar Bongo. Jacques Thiebaut Pilote d’avion, baroudeur au Gabon, il participa au ravitaillement en armes du Biafra en guerre contre le Nigéria, sous les ordres de Maurice Delaunay. Martin Kirsch Il fut le “Monsieur Afrique” de Valéry Giscard d’Estaing de 1980 à 1981. Symbole de la continuité de la politique africaine, sa nomination avait été recommandée par Jacques Foccart.

Albin Chalandon PDG d’Elf de 1977 à 1983, il conforta le rôle du Gabon comme premier fournisseur de pétrole de la France et entreprit de fructueuses négociations avec le Congo Brazzaville, pourtant dirigé par le procommuniste Denis Sassou Nguesso. Il distribua généreusement les enveloppes pour le financement des campagnes électorales de tous les grands partis politiques aussi bien de droite que de gauche. Jacques Salles Chefs des services secrets français au Zaïre puis au Gabon, il eut à connaître de la décision française de renverser le président Bokassa. En poste à Libreville, il fut le témoin privilégié des manipulations électorales et des prodigalités financières corruptrices du président Bongo.

Jean-Pierre Cot Vingt deux ans avant Jean-Marie Bockel, Jean-Pierre Cot connaîtra la même mésaventure. Nommé en mai 1981 ministre de la Coopération par François Mitterrand, il prônait la transparence dans les relations avec l’Afrique et la fin des réseaux secrets. Il sera démissionné au bout de 20 mois et remplacé par Christian Nucci. Pierre Marion Directeur de la DGSE de 1981 à 1982, il échoua dans sa tentative de nettoyer les services secrets français de l’influence des réseaux Foccart et des hommes de Elf. Désavoué par le président Mitterrand qui l’avait nommé, il démissionna. Jean-Christophe Mitterrand “Monsieur Afrique” de son père à l’Élysée, de 1986 à 1992, il hérita du surnom de “Papa m’a dit” auprès des chefs d’État africains.

Loïk Le Floch-Prigent Président-directeur général d’Elf, du 28 juin 1989 au 3 août 1993, il fut l’instrument consentant du président François Mitterrand qui poursuivit la pratique des financements occultes des partis politiques par l’argent secret du pétrole. Dans le scandale de l’affaire Elf, il fut la victime collatérale de la tentative balladurienne de prise du pouvoir présidentiel. Au nom de la raison d’État, il justifia les pratiques occultes de la compagnie pétrolière et en particulier le financement par Elf des guerres civiles au Congo Brazzaville et en Angola dans le cadre de la stratégie pétrolière de sa compagnie.

Eva Joly Juge d’instruction de l’affaire Elf, elle démonta les mécanismes de la corruption et des financements occultes générés par l’argent du pétrole. Robert Bourgi Avocat d’affaires, conseiller personnel de plusieurs présidents du continent noir, il travailla dans l’ombre des relations franco-africaine d’abord pour Jacques Chirac et Dominique de Villepin puis pour Nicolas Sarkozy qu’il initia aux réseaux africains. Se définissant lui-même comme le fils spirituel de Jacques Foccart, il est considéré aujourd’hui comme l’homme de plus influent des réseaux françafricains. Michel de Bonnecorse Ambassadeur dans plusieurs pays africains, il fut le conseiller aux affaires africaines de Jacques Chirac de 2002 à 2007. Pourfendeur des réseaux il assista à leur remontée en puissance après l’élection de Nicolas Sarkozy.

Dominique Pin Adjoint de l’ambassadeur de France en Côte d’Ivoire de 2002 à 2005, il fut ensuite directeur d’Areva au Niger. François Stifani Il est le Grand-maître de la Grande Loge nationale française qui procéda à l’intronisation d’Ali Bongo, fils d’Omar Bongo, comme Grand-maître de la Grande Loge gabonaise. Et en archives, apparaissent successivement : le Général de Gaulle, Pierre Guillaumat, Jacques Foccart, Ahmed Sékou Touré, Pierre Mesmer, Ahmadou Ahidjo, Félix Mounier, William Bechtel, Léon M’ba, Omar Bongo, le Colonel Benjamin Adekunlé, Valéry Giscard d’Estaing, René Journiac, Mathieu Kérékou, Bob Denard, Denis Sassou Nguesso, Jean-Bedel Bokassa, David Dacko, François Mitterrand, Guy Penne, Pascal Lissouba, Eduardo Dos Santos, Edouard Balladur, Philippe Jaffré, Roland Dumas, Bernard Kouchner, Laurent Gbagbo, Vincent Bolloré, Francis Bouygues, Félix Houphouët-Boigny, Nicolas Sarkozy, Dominique de Villepin, Jean-Marie Bockel, Alain Joyandet , Mamadou Tandja et Ali Bongo.

Deuxième partie d’un documentaire passionnant qui démonte les réseaux occultes entre la France et ses anciennes colonies.

Patrick Benquet déconstruit ici rigoureusement ce réseau occulte qu’est la françafrique, transcendant les partis politique et soumis à aucun contrôle parlementaire. Les témoignages des principaux responsables sont édifiants: le PDG de Elf, Albin Chalandon (généreux mécène des principales campagnes électorales, en France et dans les anciennes colonies), Robert Bourgi (le “fils spirituel” de Jacques Foccart, et le conseiller de l’ombre pour l’Afrique de Jacques Chirac, Dominique de Villepin et Nicolas Sarkozy), Eva Joly (la juge d’instruction qui démonta les mécanismes de la corruption et les financements occultes dans l’affaire Elf) et bien d’autres, reviennent sur cette histoire complexe et tragique.

« Imaginez… Là-bas, le pétrole est trouvé dans des conditions très bon marché, il sort à 3-4 dollars. Et il est revendu à 80 », sourit Le Floch-Prigent, président d’Elf de 1989 à 1993. Un différentiel conséquent, à même de financer les actions clandestines sur le continent africain des réseaux Foccart, de sponsoriser aussi la vie politique française. En clair, de favoriser telle ou telle campagne électorale hexagonale. Tous, de Le Floch à Chalandon, en passant par une ancienne collaboratrice de Mitterrand et l’ex-ambassadeur du Gabon, Delaunay, racontent, avec gourmandise ou sidération rétrospective, l’incroyable ballet des politiques, tous bords confondus, au siège de la société pétrolière. Mais la chute du mur de Berlin, en 1989, la fin du monopole de facto de la France sur les marchés énergétiques, l’affaire Elf – abus de biens sociaux, corruption et enrichissement personnel -, vont changer la donne. Sans que les populations locales y trouvent leur compte – la misère ne cessant de s’amplifier -, le rapport de forces entre dictateurs africains et chefs de l’Etat français se complexifie. Les premiers font jouer la concurrence – d’abord américaine, désormais chinoise, indienne et brésilienne -, les seconds manœuvrent pour ne pas froisser trop ouvertement leurs « fournisseurs ». Une relation toujours entachée par les coups tordus d’antan : aides délictueuses aux candidats aux élections adoubés par Paris, évictions de secrétaires d’Etat à la coopération prompts à croire aux discours de rupture…

Commentaire très maîtrisé, archives éclairantes, témoignages qui ne s’embarrassent pas de faux-semblants… le second volet explore implacablement l’ère de l’argent roi, des financements occultes, des incursions cocasses dans les exécutifs, des prés carrés des capitaines d’industrie. Rappelant que la « France a toujours autant besoin des ressources énergétiques ».

Le film donne la parole aux hommes de l’ombre, chefs des services secrets français, hommes de main au service de la République, baroudeurs du continent noir et à des acteurs historiques français qui ne s’étaient jamais exprimés : “Messieurs Afrique” de l’Élysée, ambassadeurs, ministre de la coopération, etc. Avec, par ordre d’apparition :

Maurice Delaunay
Formé à la Coloniale, l’École Nationale de la France d’Outre-mer, Maurice Delaunay fut le prototype de ces serviteurs de l’État qui ont géré l’empire africain sans état d’âme, justifiant les opérations illégales au nom de la ” raison d’État “. Se définissant lui-même comme un homme de Foccart, il fut en charge de la grande répression des indépendantistes au Cameroun à la fin des années 50. Ambassadeur au Gabon à deux reprises, il organisa la montée au pouvoir d’Omar Bongo. Il géra depuis Libreville l’intervention française au Biafra. Il dirigea et protégea le mercenaire Bob Denard en particulier pour les opérations de déstabilisation au Bénin. Il fut le témoin des mouvements de fonds clandestins entre l’Afrique et les responsables français.

Maurice Robert
En tant que responsable du secteur Afrique, il fut l’homme de main de Jacques Foccart au sein du SDECE, les services secrets français. De l’intervention de la France au Biafra à la déstabilisation de la Guinée ou du Bénin en passant par la mise au pouvoir de Bongo, il fut l’exécuteur en chef de la politique secrète de la France en Afrique. Débarqué des services secrets français, il fut immédiatement embauché dans les services de renseignements chez Elf et finira par être nommé ambassadeur au Gabon à la demande exprès d’Omar Bongo avant de terminer sa carrière de nouveau chez Elf.

André Lewin
Ambassadeur de France en Guinée de 1975 à 1979, il est la mémoire de la violente rupture entre le Général de Gaulle et Ahmed Sékou Touré et des tentatives de déstabilisation de ce pays par les services secrets français.

Bob Maloubier
Ancien responsable du service Action des services secrets français c’est lui qui organisa, à la demande de Jacques Foccart, la garde présidentielle du président gabonais Léon M’Ba, victime d’une tentative de coup d’État. Il fut ensuite embauché par la compagnie Elf au Nigéria.

Jacques Pigot
Jacques Pigot a fait partie de ces hauts fonctionnaires que la France nomma pour encadrer les nouveaux présidents africains. Il passa 50 ans dans l’entourage direct du premier président gabonais Léon M’ba puis d’Omar Bongo.

Jacques Thiebaut
Pilote d’avion, baroudeur au Gabon, il participa au ravitaillement en armes du Biafra en guerre contre le Nigéria, sous les ordres de Maurice Delaunay.

Martin Kirsch 
Il fut le “Monsieur Afrique” de Valéry Giscard d’Estaing de 1980 à 1981. Symbole de la continuité de la politique africaine, sa nomination avait été recommandée par Jacques Foccart.

Albin Chalandon
PDG d’Elf de 1977 à 1983, il conforta le rôle du Gabon comme premier fournisseur de pétrole de la France et entreprit de fructueuses négociations avec le Congo Brazzaville, pourtant dirigé par le procommuniste Denis Sassou Nguesso. Il distribua généreusement les enveloppes pour le financement des campagnes électorales de tous les grands partis politiques aussi bien de droite que de gauche.

Jacques Salles
Chef des services secrets français au Zaïre puis au Gabon, il eut à connaître de la décision française de renverser le président Bokassa. En poste à Libreville, il fut le témoin privilégié des manipulations électorales et des prodigalités financières corruptrices du président Bongo.

Jean-Pierre Cot
Vingt deux ans avant Jean-Marie Bockel, Jean-Pierre Cot connaîtra la même mésaventure. Nommé en mai 1981 ministre de la Coopération par François Mitterrand, il prônait la transparence dans les relations avec l’Afrique et la fin des réseaux secrets. Il sera démissionné au bout de 20 mois et remplacé par Christian Nucci.

Pierre Marion 
Directeur de la DGSE de 1981 à 1982, il échoua dans sa tentative de nettoyer les services secrets français de l’influence des réseaux Foccart et des hommes de Elf. Désavoué par le président Mitterrand qui l’avait nommé, il démissionna.

Jean-Christophe Mitterrand
“Monsieur Afrique” de son père à l’Élysée, de 1986 à 1992, il hérita du surnom de “Papa m’a dit” auprès des chefs d’État africains.

Loïk Le Floch-Prigent
Président-directeur général d’Elf, du 28 juin 1989 au 3 août 1993, il fut l’instrument consentant du président François Mitterrand qui poursuivit la pratique des financements occultes des partis politiques par l’argent secret du pétrole. Dans le scandale de l’affaire Elf, il fut la victime collatérale de la tentative balladurienne de prise du pouvoir présidentiel. Au nom de la raison d’État, il justifia les pratiques occultes de la compagnie pétrolière et en particulier le financement par Elf des guerres civiles au Congo Brazzaville et en Angola dans le cadre de la stratégie pétrolière de sa compagnie.

Eva Joly
Juge d’instruction de l’affaire Elf, elle démonta les mécanismes de la corruption et des financements occultes générés par l’argent du pétrole.

Robert Bourgi
Avocat d’affaires, conseiller personnel de plusieurs présidents du continent noir, il travailla dans l’ombre des relations franco-africaine d’abord pour Jacques Chirac et Dominique de Villepin puis pour Nicolas Sarkozy qu’il initia aux réseaux africains. Se définissant lui-même comme le fils spirituel de Jacques Foccart, il est considéré aujourd’hui comme l’homme des plus influent des réseaux françafricains.

Michel de Bonnecorse
Ambassadeur dans plusieurs pays africains, il fut le conseiller aux affaires africaines de Jacques Chirac de 2002 à 2007. Pourfendeur des réseaux il assista à leur remontée en puissance après l’élection de Nicolas Sarkozy.

Dominique Pin
Adjoint de l’ambassadeur de France en Côte d’Ivoire de 2002 à 2005, il fut ensuite directeur d’Areva au Niger…

———————————–

Un documentaire réalisé par Patrick Benquet.
Scénario de Patrick Benquet.
Produit par Compagnie des Phares et Balises.
Avec la participation de France Télévisions.
Conseiller historique Antoine Glaser.

Autres articles de cette série

  1. Françafrique : 50 ans sous le sceau du secret - 1ère partie : « Raison d'état » et 2ème partie : « L'argent roi » (2 janvier 2011)
  2. Françafrique, entretien avec Patrick Benquet (2 janvier 2011)
Share

Filed Under: Audio et Vidéo, FRANÇAFRIQUE Tagged With: 50 ans, Africains, Afrique, Alain Joyandet, Ali Bongo, Bénin, Berlin, Bernard Kouchner, Cameroun, Congo, corruption, Côte d'Ivoire, Etat, Eva JOLY, Françafrique, France, François Mitterrand, Gabon, Général De Gaulle, Gouvernement, Guinée, indépendance, Influence, Jacques Chirac, Jean-Marie Bockel, Juge, Laurent Gbagbo, le Congo, Maurice, Monde, Nicolas Sarkozy, Niger, Omar Bongo, Paris, Pétrole, populations, Scandale, Victime

Autres articles pouvant également vous intéresser :

COMPRENDRE L’EROSION DE L’INFLUENCE FRANCAISE EN AFRIQUE DU FRANC CFA À L’ECO : Évolution et renforcement de la servitude volontaire ! Les caisses noires de la Françafrique COMMUNAUTE INTERNATIONALE ET DROIT D’INGERENCE : Approche manichéenne et vérité des urnes violée 14 pays africains forcés par la France à payer l’impôt colonial pour les avantages de l’esclavage et de la colonisation
Webmaster

About Webmaster

Reader Interactions

Trackbacks

  1. TIKEN JAH FAKOLY – Dernier Appel | DailyZic dit :
    4 juin 2014 à 10 h 28 min

    […] Documentaire : Françafrique : 50 ans sous le sceau du secret […]

  2. Mali : Une affaire illustrative du racisme français | LES ACTUALITES DU DROIT dit :
    13 décembre 2014 à 23 h 18 min

    […] trente ans, on nous dit que la Françafrique, c’est fini. Tu parles : rien n’a […]

Primary Sidebar

CONTRIBUTION AU RECOURS JURIDIQUE

Envoyer ENTRE 10 € ET 400 € (10 USD et 400 USD) PAR VIREMENT BANCAIRE :

BANK AUSTRIA – UNICREDIT.
Wagramerstrasse 5 – 1400 Vienne, Autriche.
IBAN :  AT27 1100 0095 8575 1200
SWIFT/BIC : BKAUATWW
MOTIF : VIOLATION CADHP
AU NOM DE : Dr Yves Ekoué AMAÏZO

Ou avec PayPal  :

Ou en cas de problème avec le précédent PayPal :

Contact & INFORMATION : CVU-TOGO-DIASPORA et RCDTI : ECRIRE À : info@cvu-togo-diaspora.org

Collectif Pour La Vérité Des Urnes – Togo Diaspora et Réseau De Coordination de La Diaspora Togolaise Indépendante

Un accusé de réception sera renvoyé à chaque contributeur. Ceux qui souhaitent rester anonyme peuvent le faire en contactant une personne de RCDTI ou CVU-TOGO-DIASPORA par Email.

Éditorial

AFFAIRE « BOLLORÉ ET PÉTROLEGATE » : LE TOGO REFUSE DE PLAIDER COUPABLE : Le Peuple togolais doit l’aider à le faire !!!

23 mars 2021 Par Réseau de coordination de la Diaspora Togolaise indépendante

LE PLAIDER-COUPABLE DE VINCENT BOLLORÉ TRANSFORMÉ : en reconnaissance de culpabilité… « préalable » ?

28 février 2021 Par Yves Ekoué Amaïzo

Plus d’articles de cette catégorie

Communiqués et Analyses

TOGO : LA 3e VOIE POLITIQUE PASSE PAR UNE TRANSITION DE RUPTURE

3 janvier 2021 Par Réseau de coordination de la Diaspora Togolaise indépendante

TOGO : ARRESTATIONS HORS-LA-LOI PAR UN ETAT HORS-LA-LOI : Libérer Mme Adjamagbo-Johnson, M. Djossou et tous les prisonniers politiques

1 décembre 2020 Par Réseau de coordination de la Diaspora Togolaise indépendante

Plus d’articles de cette catégorie

Tribune libre

COVID-19 : LE CORPS MÉDICAL NE DOIT PAS POURSUIVRE LA TÂCHE HONTEUSE DES CORPS HABILLÉS, CELLE DE TUER NOS POPULATIONS. LES SOI-DISANT VACCINS TUENT ASSURÉMENT !

16 avril 2021 Par Antoine Randolph

LETTRE OUVERTE À TOUS (!!!) MES CO-COMBATTANTS TOGOLAIS DE LA LIBERTÉ

10 avril 2021 Par Godwin Tété

Plus d’articles de cette catégorie

Événements

Communiqué de la CDPT-BT du 13 juin 2019

13 juin 2019 Par Webmaster

La galerie terres d’Aligre, l’auteur Sohou Aléza et les éditions L’harmattan vous invitent ce vendredi 5 avril à 19h à la présentation de l’ouvrage :

4 avril 2019 Par Webmaster

Plus d’articles de cette catégorie

CVU dans les Médias

Logo Fenêtre Sur L’Afrique

Fenêtre Sur L’Afrique Du 26 Septembre 2020 : Débat Panafricain

27 septembre 2020 Par Yves Ekoué Amaïzo

LE MALI, LA COTE D’IVOIRE ET LA CEDEAO : QUI TROMPE QUI ?

12 septembre 2020 Par Yves Ekoué Amaïzo

Plus d’articles de cette catégorie

Footer

Subscribe to Podcast

Google PodcastsAndroidby EmailRSS

Your browser doesn't support the HTML5 CANVAS tag.

  • CVU-TOGO-DIASPORA
  • France
  • Diaspora Togolaise
  • marche
  • violence
  • conscience
  • changement
  • Fabre
  • Paris
  • Allemagne
  • Olympio
  • indépendance
  • Monde
  • corruption
  • Faure Gnassingbé
  • Lomé
  • gouvernance
  • Diaspora
  • Etats-Unis
  • alternance
  • Nations Unies
  • opposition
  • Etat
  • RPT
  • Démocratie
  • justice
  • victoire
  • démocratiques
  • Manifestations
  • dialogue
  • Droits humains
  • Togo
  • Gouvernement
  • Peuple togolais
  • Radio
  • Paix
  • EU
  • CEDEAO
  • Communauté internationale
  • Togolais
  • populations
  • Débat
  • Africains
  • l'Union européenne
  • Vérité des urnes
  • Afrique
  • constitution
  • Gnassingbé
  • Développement
  • Crise

Propriété intellectuelle

Site sous licence Creative Commons Attribution-NonCommercial-NoDerivs 3.0 License
Creative Commons License

Nuage de mots clefs

Diaspora Togolaise Togo gouvernance Démocratie constitution Gnassingbé opposition Monde RPT changement Gouvernement l'Union européenne CVU-TOGO-DIASPORA Afrique CEDEAO violence Paix Allemagne Paris Manifestations Lomé dialogue EU justice corruption alternance Vérité des urnes conscience Crise Africains Peuple togolais France Fabre Communauté internationale démocratiques marche Développement Etat Olympio populations Diaspora Faure Gnassingbé indépendance Togolais Radio

© cvu-togo-diaspora.org 2010–2021 - cvu-togo-diaspora.org - Un site du réseau afrocentricity.net

Précédent Françafrique, entretien avec Patrick Benquet
Suivant Meilleurs Vœux et Bonne Année 2011