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LE GOUVERNEMENT D’UNION NATIONALE : ANTITHESE DE LA DEMOCRATIE !

24 avril 2010 par Webmaster

Le Togo bruisse ces derniers jours de rumeurs de plus en plus persistantes sur la possibilité de voir sortir dans les prochains jours du chapeau de prestidigitateur de Faure Gnassingbé une énième tentative de composition d’un Gouvernement d’union nationale (GUN). Sous des apparences d’ouverture, il s’agit d’une preuve de plus de la duplicité et du cynisme, caractéristiques du pouvoir sortant qui tente ainsi de faire avaler au peuple togolais, la pilule amère du dernier holdup électoral commis en complicité avec son réseau politico-mafieux.

Les maîtres d’œuvre de ce scénario sont déjà à la tâche depuis plusieurs semaines au Togo, comme dans certaines coulisses de la Communauté internationale. Leur double objectif pervers est de rallier à celles qui avaient déjà consenti à leur donner le change en donnant l’illusion de s’opposer le temps d’un scrutin,  les dernières consciences malléables qui n’avaient pu l’être avant la campagne électorale, et d’empêcher insidieusement l’émergence d’une véritable culture démocratique et de bonne gouvernance au Togo.

Sans avoir besoin d’aller chercher d’autres exemples en dehors de nos frontières, si l’on considère les vingt dernières années de l’histoire politique du Togo, les expériences menées en la matière à plusieurs reprises, ont toujours conduit à des échecs patents et cuisants. Les premiers ministres togolais Kokou KOFFIGOH, Edem KODJO, Eugène ADOBOLI, Yawovi AGBOYIBO, Gilbert HOUNGBO…, qui ont présidé aux destinées de formes diverses de Gouvernements d’union nationale sous le contrôle du clan RPT (Rassemblement du Peuple Togolais) se sont trouvés dans l’incapacité, tout simplement parce que le système ne le leur permettait pas, de réaliser leur programme ou d’apporter la moindre petite amélioration qui permette de renforcer un processus démocratique, toujours en panne en 2010!

Le meilleur exemple de ce constat vient d’être encore fourni par le fiasco du dernier scrutin présidentiel.
C’est pourquoi nous devons agir sans relâche pour influer sur l’espace politique togolais, de telle manière que nous soyons en mesure de récuser définitivement toute idée de GUN, qui ne peut conduire pour les raisons évoquées qu’à une impasse, mais certainement pas à la  consolidation de la démocratie ou à la résolution des maux dont souffre notre pays.
Le GUN c’est un exercice de style  pour ménager durant un temps certaines susceptibilités, surtout pour donner une image d’union qui ne peut être que de façade, puisqu’elle ne s’appuie ni sur la sincérité des intentions politiques, ni sur une démarche politique de fond, et encore moins sur le respect des normes démocratiques.

Pire encore, le GUN est un instrument politique qu’il faut combattre en n’ayant pas peur de le diaboliser, dans la mesure où dans le cas présent il ne poursuit pas d’autre but que de donner un lustre de respectabilité, à un scrutin antidémocratique par excellence puisque vicié par toutes sortes d’irrégularités, ne reflétant surtout pas le résultat réel des urnes et assimilable à un énième holdup électoral !

L’enseignement majeur du scrutin de 4 mars 2010 repose sur quatre points fondamentaux.

  • Au Togo il ne sert à rien de s’épuiser à jeter des forces dans une bataille électorale qui s’avère scrutin après scrutin à chaque fois stérile, dans la mesure où depuis plus de quarante ans ce pays est institutionnellement incapable de faire triompher la vérité des urnes et de permettre l’alternance politique par les voies démocratiques, en raison justement du fait que notre pays n’est pas une vraie démocratie, au sens moderne du terme.
  • Le point essentiel en termes de bataille politique est de savoir garder intactes nos forces pour pouvoir mener le combat postélectoral dans la durée, par des voies pacifiques, en diversifiant les actions pour faire triompher la vérité des urnes et qui, de fait, est le seul combat qui soit vraiment déterminant.
  • La question qui se pose alors est de pouvoir évaluer la détermination des forces de l’alternance politique au Togo, et leur capacité à pouvoir se transcender pour mener ce combat jusqu’à son terme et dans la durée qui sera nécessaire, dans le calme et la sérénité.
  • Ces trois paramètres sont évidemment conditionnés par la capacité du camp d’en face constitué aujourd’hui par le pouvoir sortant, soutenu par le RPT, et par quelques « satellites » d’importance négligeable ; d’accepter la contestation démocratique généralisée qui atteint aujourd’hui toutes les villes sur l’ensemble du territoire du Togo de Lomé à Cinkassé et de Tchamba à Bandjéli, contestation que ce même pouvoir avait annihilée en deux jours à peine lors de l’élection présidentielle de 2005, au prix de plus de 500 morts reconnus par la Commission des Droits de l’Homme des Nations Unies et de plusieurs dizaines de milliers de réfugiés au Bénin et au Ghana voisins.

Ces quatre considérations conditionnent aujourd’hui le devenir de l’exercice des droits politiques, d’expression publique et de liberté d’opinion dans notre pays. Elles conditionnent en quelque sorte la possibilité de renforcement du processus démocratique dans notre pays.

Les paramètres constituant les facteurs de l’équation de la crise politique togolaise, sont aujourd’hui relativement simples. Il s’agit de choisir entre soutenir la vérité des urnes ou s’opposer à la vérité des urnes.

Comme en témoigne le rapport préliminaire de la Mission d’Observation Electorale de l’Union Européenne [MOEUE], il est notoire que tout a été mis en œuvre par le pouvoir sortant, pour rendre impossible les moyens de vérification de la régularité du scrutin et des résultats électoraux, par le biais d’un ensemble de mesures. Il s’agit notamment du mauvais fonctionnement de la CENI et de la mauvaise organisation du scrutin qui en ont résulté, des violences de tous ordres commises par la FOSEP, allant jusqu’à la destruction de moyens de preuve, que nous voulions porter à la connaissance de la Communauté internationale pour montrer le niveau auquel est parvenue la fraude électorale au cours du scrutin du 4 mars 2010.

Malgré l’impressionnant dispositif mis en place, l’observation des résultats dans les bureaux de vote par les nombreux témoins qui s’y trouvaient présents – à ne pas confondre avec les observateurs électoraux, tous acquis à la cause de Faure Gnassingbé, à l’exception de quelques uns – a montré à l’évidence que sur l’ensemble du territoire la victoire était largement acquise au candidat du Front Républicain pour l’Alternance et le Changement, Jean-Pierre Fabre.

En conséquence Faure Gnassingbé, ne peut se prévaloir d’aucune légitimité au regard des résultats publiés.

Dans ces conditions si Gouvernement il doit y avoir, pour sortir de cette crise politique, ce ne peut être en aucun cas un Gouvernement d’union nationale, mais bien d’un GOUVERNEMENT DE TRANSITION. Celui-ci avec une feuille de route bien précise, sera chargé de l’organisation rapide d’un nouveau scrutin, dans un délai raisonnable et dans des conditions de transparence totale, et devra regrouper à égalité de responsabilités politiques, l’ensemble des forces politiques qui ont pris part au scrutin du 4 mars 2010.

Voilà certainement la ligne médiane autour de laquelle se trouve aujourd’hui la possibilité d’une sortie de crise politique au Togo !

Pour garantir les conditions absolues de transparence devant concourir à l’organisation d’un nouveau scrutin, une nouvelle CENI doit être mise en place, à laquelle doivent participer à égalité de représentation toutes les forces politiques en présence lors du scrutin du 4 mars, de même que des représentants de la diaspora. Cette nouvelle CENI devant bien entendu respecter scrupuleusement les recommandations qui avaient été formulées par l’UE et le PNUD, pour ce qui concerne les dispositifs techniques de transmission des résultats électoraux, et relativement à la possibilité d’identification des bulletins de vote. L’ensemble de ce travail, s’appuyant bien entendu sur une révision complète des listes électorales, pour tenir compte des graves irrégularités qui avaient été notifiées lors de la révision partielle qui a précédé le scrutin du 4 mars.

Il apparaît clairement que seul un GOUVERNEMENT DE TRANSITION digne de ce nom, doté  d’attributions spécifiques, constitue véritablement les prémices d’un processus démocratique viable! Il s’agit d’un impératif catégorique à voir les résultats désastreux de la gouvernance du pouvoir sortant, incapable de faire reculer le niveau de pauvreté qui affecte plus de 65 % de la population, à cause du pillage des richesses nationales du pays. L’un des objectifs poursuivis par la grande mobilisation citoyenne actuelle du peuple togolais est d’en finir avec le creusement des écarts dans la répartition des fruits de la croissance, le creusement des inégalités sociales, dans un contexte socio économique où plus de 60 % de la population se partage seulement 1 % de la richesse nationale à cause des injustices sociales ayant marqué le quinquennat du pouvoir sortant.

Ce qui indique qu’il ne s’agit pas ici d’une simple considération sémantique, car cette démarche est bien à l’opposé d’un Gouvernement d’union nationale, qui continuerait à être présidé par un Président de la République illégitime, du fait des irrégularités graves et multiples qui ont gravement affecté le déroulement du scrutin du 4 mars 2010, et dont le résultat ne reflète en rien la réalité de la vérité des urnes. Il s’agit d’une exigence éthique pour éviter des lendemains incertains et des improvisations dans la gouvernance du pays !
Par ailleurs, comment pourrait-on encore faire confiance à un candidat, qui durant son quinquennat, nous a abreuvés de promesses non tenues sur la réconciliation entre les Togolais, alors que durant le même exercice, sa gouvernance a initié et favorisé les plus graves injustices, la violence, affichant un souverain mépris à l’égard des populations injustement soumises à une paupérisation croissante. Son effacement de la scène publique, au mépris de la Constitution, depuis la proclamation de sa fausse victoire, le disqualifie pour présider aux destinées de notre pays dans les mêmes conditions que celles que nous venons de supporter pendant cinq ans et témoigne de la profondeur de la crise politique et institutionnelle qui affecte aujourd’hui le Togo !

Dans ces conditions seul un GOUVERNEMENT DE TRANSITION s’impose comme une sortie de crise raisonnable. Cette démarche est bien à l’opposé du leurre que constituerait un énième Gouvernement d’union nationale, uniquement destiné à fermer la voie de l’émergence d’une nouvelle classe politique porteuse d’une alternance véritablement fondée sur les valeurs de justice, de liberté et d’équité.

La mise en place d’un tel GOUVERNEMENT nécessite les travaux sérieux et appliqués d’un conclave inter-togolais, placé cette fois sous l’égide d’un pays désigné parmi les partenaires en développement du Togo. Les questions portant sur les réformes institutionnelles et constitutionnelles doivent y trouver leur règlement de sorte que l’acte politique entérinant un éventuel accord comporte, en sus des modalités d’organisation du nouveau scrutin présidentiel:

  • le retour à la Constitution de 1992
  • le nouveau découpage électoral
  • l’organisation des  élections législatives anticipées

Fort des enseignements des précédents accords, les termes définitifs d’un éventuel consensus doivent être validés en conférence de presse publique animée par les parties prenantes et les forces vives de la Nation afin de conférer sous les yeux du peuple,  toutes les vertus d’éthique, de sincérité  et de franchise au dit consensus.

La gravité de la crise économique et sociopolitique qui affecte durablement notre pays depuis deux décennies n’autorise guère aujourd’hui la duplicité, ni  les calculs politiciens. Seuls, des principes de gouvernance fondés sur la volonté, l’éthique, la sincérité et le courage politique, constituent les ferments à même de redonner confiance à toutes les filles et à tous les fils du Togo tout entier meurtris par tant d’années de souffrances et de misère dues au statu quo politique.

Seul un Gouvernement de transition à terme et à mandat précis est à même de jeter les bases viables d’une véritable société de confiance au Togo !
Rien n’entamera notre détermination à œuvrer inlassablement aux côtés du peuple togolais pour faire porter l’étoile de notre Mère Patrie au firmament de la Démocratie et de la Prospérité !

Ensemble, en avant la Résistance citoyenne pour que vive la République !

Que Dieu bénisse le Togo !
Fait à Lomé, le 23 avril 2010.
Le Coordinateur provisoire,

Agbéyomé KODJO.
©cvu-togo et cvu-togo-diaspora

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