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LES LIMITES D’UN ART RACISTE : Arrêtez d’insulter la femme noire !

8 septembre 2012 par Yves Ekoué Amaïzo

En présentant un portrait dénaturé de Michelle Obama, la première femme noire, femme d’un Président des Etats-Unis, une femme blanche, propagandiste de la pureté de la race, verse dans l’art raciste.

LE RETOUR DU RACISME BÊTE

Avec plus de 65 % dans les sondages aux Etats-Unis pour sa « likability », le fait d’apparaître sympathique, séduisante et donc désirable pour les Américains, Michelle Obama fait des jaloux, mais surtout des jalouses au sein de la population blanche. Bien sûr, il ne faut jamais généraliser.

Source : Lgü (2012). Michelle Obama en esclave à demie-nue, 20 mn.ch, 30 août 2012, < http://www.20min.ch/ro/news/dossier/electionsusa/story/15921854> accédé le 7 septembre 2012.

Mais quand un magazine espagnol 1 peu diffusé choisi de présenter la « first lady » américaine en référence à une photo coloniale où le colon esclavagiste blanc ne voit dans le corps de la femme noire qu’un espace géographique de plaisir ou alors d’extraction du lait nécessaire à la survivance de son fils blanc, alors il faut se demander quand est-ce que l’art touche à ses limites pour devenir un art RACISTE.

Le problème pourrait s’expliquer simplement par le besoin de ce magazine espagnol  de faire du chiffre pour éponger partiellement la dette colossale et la mauvaise gestion du gouvernement espagnol. Mais,  il ne s’agit même pas de cela. Il est donc bien question d’autre chose, plus insidieux, plus enfoui et donc plus sournois. Il s’agit d’insulter sans risques d’être attaqué en retour en se cachant derrière l’ART. Dès lors que cette photo circule dans les réseaux sociaux pour « salir » la campagne de Barack Obama et que parfois la tête de « Michelle » est remplacée par celle d’une Guenon ou d’une chimpanzé, il est sûr qu’il ne s’agit plus d’art.  Bien sûr, personne n’est responsable.

2. ART RACISTE…. C’EST JUSTE UNE BLAQUE ?

Est-ce que les Français et les Françaises peuvent imaginer la même photo avec la first « compagne » de François Hollande puisque jusqu’à nouvel ordre, il n’y a pas de mariage à l’ordre du jour ? C’est vrai que Valérie Trierweiler, comme au demeurant l’ex-« compagne » du Président français, Ségolène Royal, ne peuvent supporter de tels amalgames. La « Marianne française » ne resterait pas indifférente à une telle dénaturation de l’image d’une personne dans un pays des droits humains et donc du droit à une image propre. Il y a manifestement le viol du droit à l’image et à la vie privée de Michelle Obama, droit qui est régi par l’article 9 du code civil français.

I faut espérer que l’une (Valérie) ou l’autre (Ségolène) ou les deux + 1, notamment Mme Christiane Taubira, la ministre de la Justice et Garde des Sceaux, qui pourront diffuser partout où c’est possible leur positionnement par rapport à ce qui n’est rien d’autre que des formes modernes de promotion d’un racisme d’antan, un racisme envers la femme noire. Ces racistes irresponsables n’arrivent pas à se faire à l’idée que l’avenir n’appartiendra plus au monde occidental esclavagiste et agresseur.  Le peuple qui a pour histoire la « férocité blanche 2 » devrait faire preuve de plus de discrétion dans la promotion d’un art douteux et dégradant pour l’image de la femme noire, qu’elle s’appelle « Michelle Obama » ou « Aminata l’Africaine », la négresse fière de l’être.

3. UNE PUBLICITE POUR LE RETOUR DES MAITRES ESCLAVAGISTES ?

L’auteur de ce tableau, une femme blanche vraisemblablement descendante d’esclavagistes blancs, manque d’ailleurs d’originalité. Il s’agit en fait d’un mauvais plagiat du portrait du tableau (voir photo plus haut sur la droite) d’une autre artiste peintre blanche et française, Marie-Guillemine Benoist présenté au public en 1800. Ce tableau que l’on retrouve au Musée du Louvre rappelle d’ailleurs que de nombreuses femmes blanches, femmes d’esclavagistes étaient aussi des « homosexuelles » et n’hésitaient pas à le rappeler dans l’art comme en témoigne d’ailleurs le billet de banque de 5 000 Francs émis en 1901 par la Banque de l’Afrique Occidentale 3.

L’auteur de ce plagiat aurait dû afficher clairement pour quels groupes de pression elle travaille car dans un contexte de recherche de « bouc émissairisation » des malheurs économiques de l’Occident, elle fait mouche chez les tenants de l’avilissement de la race noire. Devant cette photo héritée des colons français, et présentant Michelle Obama en esclave à moitié nue de colons français, la France devrait réagir et en profiter pour s’excuser pour le passé colonial des grands propriétaires d’esclaves qui ont créé les premières banques africaines et antillaises à partir de la vente des esclaves noirs 4 et la garantie de l’Etat colonial.

Michelle Obama n’a pas connu les affres de la colonisation même si elle en a connu les conséquences sous la forme du racisme aux Etats-Unis. Mais comme il est de plus en plus probable que ses ancêtres étaient originaires du Ghana ou du Togo, peut-être que l’artiste raciste qui  a fait ce tableau a voulu mettre en valeur l’humiliation que l’esclavage a du avoir sur la vie de l’arrière-arrière-grand-mère de Michelle Obama. Quelle honte pour l’art. Cette artiste devrait figurer dans la liste des artistes souffrant du syndrome de la négrophobie, doublé d’une amnésie typique des tenants de l’occidentalo-centrisme.

Il faut espérer qu’en mettant en valeur une poitrine nue et un demi-sourire d’une femme noire esclave connotée avec la femme de Barack Obama, l’artiste du nom de Karine Percheron-Daniels n’a pas en plus voulu faire passer subrepticement l’idée que les femmes noires étaient « consentantes » aux  « avances bestiales des esclavagistes ». Rappelons tout de même que des tableaux de Gauguin au 19e  et de Picasso au 20e siècle promouvaient l’idée de « femmes indigènes » consentantes aux avances des « maîtres esclavagistes »… Nul ne s’en est offusqué !!! Normal,  il s’agissait de grands machos.

4. LE PHOTOSHOP DU ZOO HUMAIN EN EMERGENCE : LE NOUVEL ART RACISTE

La vérité est que Karine Percheron-Daniels fait une différenciation entre la peau des femmes blanches que l’on ne mettrait pas à nu publiquement alors que la peau de la femme noire, la « négresse », une « sous-race » donc,  peut être montrée puisque les femmes noires, comme les « hommes noirs » au demeurant », n’ont pas d’âme selon les tenants thuriféraires de la pureté de la race blanche.

Karine Percheron-Daniels devrait ouvrir un Zoo humain comme au 19e et début du 20e siècle avec ses œuvres de bas niveau (tableaux et images) comme l’avaient fait ses ancêtres racistes avec les « Vénus hottentotes ». Elle  devrait montrer la nudité des ancêtres de la reine Elizabeth ou du roi d’Espagne à côté des massacres coloniaux dont ils portent la responsabilité et qui semblent lui avoir échappé. La femme noire esclave ne l’aurait jamais été si les ancêtres de cette peintre sans culture n’avaient pas eu des ancêtres esclavagistes qu’elle tente maladroitement de justifier, réhabilitant, voire promouvant ainsi, l’esclavage des temps modernes. L’ambigüité de ce tableau relève moins de la demi-nudité de Michelle Obama que de la capacité de cette artiste faussement non-raciste à réveiller la nostalgie de la bonne vieille époque de l’esclavage où la femme noire servait de variable d’ajustement pour les défaillances des femmes blanches auprès de leur mari esclavagiste.

Ramener Michelle Obama à une femme noire esclave drapée dans le drapeau américain ne relève pas de l’art, mais de l’art raciste. C’est toute la différence entre la provocation et l’agression culturaliste où le peintre ne peut être tenu responsable des associations d’idées qu’elle a librement et volontairement choisies. Le peuple noir et la femme noire en particulier n’ont agressé personne dans l’histoire de l’humanité. Karine Percheron-Daniels devrait réviser, ou carrément, suivre des cours d’humanité classique avec des professeurs afrocentriques. Sa responsabilité sans faute avérée ne manquera pas de se commuer en une meilleure compréhension de la férocité blanche, ce au cours de l’histoire humaine, privant de nombreux peuples non-belliqueux de suivre le cours de leur histoire, pacifiquement.

Tous ceux qui ont eu la chance de voir les tableaux de l’artiste constateront sa psychopathie pour le corps nu, blanc comme noir. Mais, la mutation nouvelle vers la propagande raciste subliminale où la nudité du corps de la femme noire doit servir de point de ralliement des nostalgiques de l’esclavagisme d’antan est inacceptable. L’artiste n’est en rien innocente dans cette histoire, au contraire. Elle fonde, peut-être sans le savoir, le retour de la culture de l’esclavage. L’Amérique blanche porte encore les stigmates de l’esclavage et les options politiques proposées par le candidat républicain pourraient présager d’un retour de l’esclavage moderne si le tableau de Karine Percheron-Daniels continue à circuler dans les réseaux sociaux des sympathisants républicains.

Aussi quand l’imagination de cette artiste peintre se limite à ne peindre que les victimes de l’esclavage et à feindre d’oublier les bourreaux esclavagistes, alors cela relève moins de l’amnésie que de la férocité blanche. L’art n’est pas à sens unique sinon l’art véhicule du racisme. Karine Percheron-Daniel clame qu’elle n’est pas raciste. Personne ne met cela en doute. Mais, cela ne l’empêche pas de promouvoir un art esclavophobe. Autrement dit, le vrai message de ce tableau et contesté ici est que Michelle Obama est l’esclave des Etats-Unis d’Amérique mais qu’elle a librement choisi de mettre son « âme » de descendantes d’esclaves au service de ce pays, y compris ceux qui étaient les bourreaux esclavagistes de son arrière-arrière grand-mère. Karine Percheron=Daniel n’a donc rien compris. Il faudra refaire ce tableau pour l’ajuster à la véritable histoire des bourreaux et des victimes de l’esclavage.

Aussi, le racisme par intermittence est à l’image de la couardise de l’artiste et du magazine qui diffuse en première page leur inculture et le racisme subconscient. Paradoxalement ils, l’artiste et le responsable du magazine), estiment n’avoir rien à se reprocher. Pauvre femme et pauvre chef de rédaction qui croient se faire un nom sur le dos de l’image de la femme noire ! YEA.

Notes:

  1. Magazine Fuera de Serie (2012). « Michelle se Come a Obama », 10 août 2012,  voir <http://fueradeserie.expansion.com/2012/08/10/personajes/1344591523.html> accédé le 7 septembre 2012. ↩
  2. Rosa Amélia Plumelle-Uribe (2001). La férocité blanche : des non-Blancs aux non-Aryens, ces génocides occultés de 1492 à nos jours, éditions Albin Michel : Paris, 334 pages. ↩
  3. Yves Ekoué Amaïzo (2001). Naissance d’une banque de la zone franc : 1848-1901. Priorité aux propriétaires d’esclaves, éditions L’Harmattan : Paris, 209 pages, voir la page de couverture. ↩
  4. Yves Ekoué Amaïzo (2001), op. cit.. ↩

Pièces jointes :

LES LIMITES D’UN ART RACISTE : Arrêtez d’insulter la femme noire !
Titre: LES LIMITES D’UN ART RACISTE : Arrêtez d’insulter la femme noire !
Nom du fichier: arretez-d-insulter-la-femme-noire-08-09-12.pdf (176 Ko)

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Filed Under: Dans les Médias Tagged With: Afrique, Amérique, Barack Obama, candidat, Colonisation, Droits humains, Esclaves, Etat, Etats-Unis, EU, France, François Hollande, Ghana, Gouvernement, justice, Monde, Obama, Paris, Peuple Noir, racisme, Ségolène Royal, Togo, Yves Ekoué Amaïzo, Zone franc

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Yves Ekoué Amaïzo, né à Lomé au Togo, est le Directeur de Afrocentricity Think Tank. Ce groupe d’influence tente de modifier les décisions qui impactent négativement les Africains et les Afro-descendants. Il travaille en indépendant en tant que Consultant international, Chroniqueur sur la Radio Africa Numéro 1 et Chargé de cours occasionnellement.

En tant que faiseur d’opinion,c’est une personnalité qui ne laisse pas indifférent. Sa formation multidisciplinaire de haut niveau tant en économie, en droit, qu’en gestion des entreprises et ses activités d’enseignement, de conseils, de réflexion et d’influence font de lui une personnalité politique reconnue tant par la population et la Diaspora africaines que par les décideurs d’Afrique et d’ailleurs. Pour en savoir plus… ou contacter

 
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